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je vous lis presque toujourrs mais pense pas vous avoir déjà laissé une trace ecrite, ne serait-ce que pour vo
Par Anonyme, le 23.11.2019
elle vous a lu avec beaucoup d'attention cette dame et avec l'acuité d'une professeure (un?)manifeste ment hab
Par Anonyme, le 11.11.2019
un oxymore parfait l'idéal, fractal en équilibre entre bien et mal..
Par Jean -Jacques, le 03.11.2019
toujours de belles phrases, des mots doux à lire ou à entendre..rose ,sourire , oiseau, serments, amitié...
Par Anonyme, le 19.10.2019
il y a bien de décennies!! il me fut offert un très beau waterman ,le must de l'époque.
h? ?las ,je ne l'ai pl
Par Anonyme, le 19.10.2019
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Date de création : 08.08.2014
Dernière mise à jour :
03.04.2022
528 articles
Je suis ce qu'il fut...
Il m'a donné son attachement aux mots, son besoin d'écrire, sa soif d'amour et de liberté.
Merci Grand-père de guider mes pas.
Manu Edouard Moulin
J'ai plusieurs fois lu: "Sur la route" (1957)...
Jack est parti bien trop tôt:
12/03/1922 - 21/10/1969 (47 ans)
Pleure, mon coeur, des larmes d'amour
et bénis ce bonheur chaque jour.
Manu Edouard Moulin
Egaré tout au fond d'une classe sans nom
ne voyant du tableau que de bien lointains mots
tu crochais sur les monts des nuages fripons
et courais par les vaux en suivant les ruisseaux.
Il était des forêts dans tes cahiers, cachées
où souvent tu allais en voyages discrets;
là, vivaient des lutins et autres farfadets,
de merveilleux copains partageant tes secrets.
Ton bureau n'était plus qu'une immense étendue
où tu posais sans fin tous tes rêves badins
qui vivaient à l'insu d'une classe assidue,
d'un vieux maitre hutin et souvent tracassin.
Que de mondes tu fis en trop douces utopies,
que de lointains pays tu courus en champi;
tu étais un nabi peignant ses paradis
sur des murs bien trop gris où s'affichait l'ennui.
Que d'écrits tu laissas sur des feuilles lambda,
que le vent emporta en oublis scélérats,
que de mots murmurés ont à jamais sombrés
dans le flot torturé de ruisseaux indomptés.
Il était cette faim d'escapades sans fin,
ce désir marmiton de manger l'horizon;
il était ce trop plein, cette envie de chemins
emportant sans façon tes songes en déraison.
Gentil môme rêveur trop près du radiateur.
tu n'avais de péchés que l'envie de lorgner
d'un oeil fureteur les loquets du bonheur
injustement fermés sur ton coeur prisonnier.
Manu Edouard Moulin
@ Tous droits réservés 2015